Le constat de départ, c’était l’épuisement. Je me suis perdu dans un activisme forcené, peut-être pour éviter de ressentir la douleur du passé. J’avais toujours l’appréhension d’un mauvais coup qui pouvait surgir de n’importe où. Il ne fallait surtout pas baisser la garde ; et donc, j’ai toujours tout porté… jusqu’à ce que je craque !

Avec douceur et délicatesse, nous avons fait le tour de ces blessures, et nous les avons apportées à Jésus pour qu’Il en enlève l’aiguillon. Je découvre en Lui un havre de paix et de sécurité. Le tout, c’est d’y revenir chaque fois que je repars dans mes vieux automatismes.

 Je me rends compte là où je me mets moi-même de la pression, où je gaspille mes forces. La lucidité sur mon fonctionnement m’aide à développer de nouvelles alternatives. Et j’expérimente peu à peu un nouveau mode d’être apaisé.